(Ah ! qu’il est bon, qu’il est doux à des frères de vivre dans une étroite union ! Ah ! qu’il est bon, qu’il est doux à des frères de vivre dans une étroite union ! Ah ! qu’il est bon, de vivre dans une étroite union ! Ah ! qu’il est bon, de vivre dans une étroite union !)
(Ah! How good, how sweet for brothers to live in close union! Ah! How good, how sweet for brothers to live in close union! Ah! What 'it is good to live in close union! Ah! how good it is to live in close union!)
(Les Cosaques se sont réveillés, en route depuis minuit, Marusenka a pleuré, tes yeux clairs. Ne pleure pas, ne pleure pas Marusenka, ne pleure pas, ne sois pas triste. Mais pour mon petit, prier Dieu. La lune se tient au-dessus de la montagne, et il n’y a pas de soleil, la mère d’un fils dans une Dorezhenka, un adieu plein de larmes. Allez, allez mon fils, ne tarde pas, dans quatre semaines de retour. Oh j’aimerais bien, maman, rentrer à la maison, mais une chose, mon cheval noir corbeau, m’a fait trébucher contre la porte, oh ne pleure pas ma mère, ne cède pas au désir, mon cheval s’est joué de mon espoir de retour)
(The Cossacks woke up, on the way since midnight, Marusenka cried, your eyes clear. Don't cry, don't cry Marusenka, don't cry, don't be sad. But for my little one, pray to God. The moon stands above the mountain, and there is no sun, the mother of a son in a Dorezhenka, a farewell full of tears. Go, go my son, do not delay, in four weeks back. Oh i would love, mom, to come home, but one thing, my raven black horse, made me stumble against the door, oh don't cry mom, don't give in to desire, my horse got played with my hope of return)
Засвіт встали козаченьки
В похід з полуночі,
Заплакала Марусенька
Свої ясні очі.
Не плач, не плач, Марусенько,
Не плач, не журися,
Та за свого миленького
Богу помолися.
Стоїть місяць над горою
А сонця немає.
Мати сина на війноньку
Слізно проводжає.
Іди, іди, мій синочку,
Та не забарися,
За чотири неділеньки
Додому вернися.
Ой Бог знає, коли вернусь,
В якую годину…
Прийми ж мою Марусеньку
За рідну дитину.
Ой рада б я Марусеньку
За рідну прийняти,
Та чи буде вона мене,
Сину, шанувати ?
Ой не плачте, не журіться,
В тугу не вдавайтесь!
Заграв мій кінь вороненький –
Назад сподівайтесь !
[zasvit fstalɨ kɔzaʧɛɲkɨ]
[f pɔʜit s pɔlunɔʧi]
[zaplakala marusɛɲka]
[svɔji jasni ɔʧi]
[nɛ plaʧ nɛ plaʧ nɛ marusɛɲkɔ]
[nɛ plaʧ nɛ ʒurɨsʲa]
[ta za svɔvɔ mɨlɛɲkɔvɔ]
[bɔgu pɔmɔlɨsʲa]
[stɔjitʲ misʲatsʲ nat gɔrɔʲu]
[a sɔntsʲa nɛmajɛ]
[matɨ sɨna na viʲnɔɲku]
[sliznɔ prɔvɔdʒajɛ]
[idɨ idɨ mij sɨnɔʧku]
[ta nɛ zabarɨsʲa]
[za ʧɔtɨrɨ nɛdilɛɲkɨ]
[dɔdɔmu vɛrnutʲsʲa]
[ɔj bɔk znajɛ kɔlɨ vɛrnusʲ]
[f jakuʲu gɔdɨnu]
[prɨʲmɨ ʃ mɔʲu marusɛɲku]
[za ridnu dɨtɨnu]
[ɔj rada p ja marusɛɲku]
[za ridnu prɨʲɲatɨ]
[ta ʧɨ budɛ vɔna mɛnɛ]
[sɨnu ʃanuvatɨ]
[ɔj nɛ plaʧtɛ nɛ ʊdavaʲtɛsʲ]
[f tugu nɛ ʊdavaʲtɛsʲ]
[zagraʊ miʲ kiɲ vɔrɔnɛɲkɨʲ]
[nazat spɔdivaʲtɛsʲ]
(Les Cosaques se sont réveillés, en route depuis minuit, Marusenka a pleuré, tes yeux clairs. Ne pleure pas, ne pleure pas Marusenka, ne pleure pas, ne sois pas triste. Mais pour mon petit, prier Dieu. La lune se tient au-dessus de la montagne, et il n’y a pas de soleil, la mère d’un fils dans l’armée, un adieu plein de larmes. Allez, allez mon fils, ne tarde pas, dans quatres semaines, reviens à la maison. Oh Dieu sait quand je serais de retour, à quelle heure. Accepte ma Marusenka, pour un enfant du pays, oh je serai heureux Marusenka de prendre pour natif, mais sera-t-elle pour moi fils, un honneur ? Ne sois pas triste, ne cède pas au désir, mon cheval s’est joué de moi d’un espoir de retour)
(The Cossacks woke up, on the way since midnight, Marusenka cried, your eyes clear. Don't cry, don't cry Marusenka, don't cry, don't be sad. But for my little one, pray to God. The moon stands above the mountain, and there is no sun, the mother of a son in the army, a farewell full of tears Go, go my son, do not delay, in four weeks, come back to home. Oh God knows when I'll be back, at what time. Accept my Marusenka, for a child of the country, oh I'll be happy to take Marusenka as a native, but will she be my son, an honor? don't be sad, don't give in to desire, my horse has tricked me with a hope of return)
(Eh ! Le long de la Peterskaïa, le long de Tverskaya-Yamskaya, ouais oh oh ! Le long de Tverskaya-Yamskaya, oui, avec une cloche. Eh ! Roule assez, seul à trois.Eh ! Et monte, mon cher, oui dans l’insouciance. Oh ! Et j'étais à la fête, dans la conversation j'ai bu, jeune, douceur et vodka. Aie ! vodka sucrée, Toute je l’ai bu, jeune, dans un demi-seau. Euh... Ah ! Oh ! Oh ! Ce n'est pas la glace qui craque, pas un moustique ne grince, c'est parrain à parrain, le sandre traîne, Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Hé ! potins, tu es une colombe, de faire bouillir la sandre marraine, avoir une yushka (plat traditionnel de mélange de poisson et viande). Hé ! Hé ! Hé ! Hé ! Hé ho ! Yushechka, et le persil, et embrasse-moi, marraine chérie ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Eh bien bisous ! Eh bien bisous ! Marraine chérie)
(Hey! Along Peterskaya, along Tverskaya-Yamskaya, yeah oh oh! Along Tverskaya-Yamskaya, yes, with a bell. Hey! Ride enough, alone in threes. Hey! And go up, my dear, yes in carelessness Oh! And I was at the party, in the conversation I drank, young, sweetness and vodka. Ouch! sweet vodka, All I drank, young, in half a bucket. Uh... Ah! Oh! Oh! It's not the ice that's cracking, not a mosquito is squealing, it's godfather to godfather, the zander is hanging around, Oh! Oh! Oh! Oh! Hey! gossip, you you're a dove, to boil godmother pike-perch, to have a yushka (traditional dish of mixed fish and meat) Hey! Hey! Hey! Hey! Hey! Yushechka, and parsley, and kiss me, darling godmother! Oh! Oh! Oh! Oh! Well kisses! Well kisses! Godmother darling)
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