En raison de la non reconnaissance de l'écriture celte par le site, ceci est une image du texte en breton
Due to the non-recognition of Celtic writing by the site, this is an image of the text in Breton
[ʃelœɛt tyd jawɑ̃k hag əʀ ʀe gɔx œwe]
[əʀ xɑ̃ntik zu zawɛt əʀ xɑ̃ntik a nœwe]
[axbahʀ e lɑ̃gɔnɛt e xulənɛʀ pəʀzɛk]
[pɛʀ aʀal a frɛgɛl ha sɛx ag ɛʀ fawɛt]
hwelɛt ɛʀ sudaʀdɛd e tiʃən ag ɛʀ ʀy]
[lɔt anɛxe e glas ha lɔd aʀal e ʀy]
[ɛn daʀ'n u dœləgad e tɔnɛt du glybɔ]
[əʀ glaxaʀ'n u xalɔn e kwitat ag u bʀɔ]
[ʃɛʀviʒɛn ɛn nasjɔn zu ən dʀa disuʀsi]
[xalɔn ɛʀ vʀɛtɔnɛd zu lɑ̃n a vɛlkɔni]
[ʃelœɛt tyd jawɑ̃k hag əʀ ʀe gɔx œwe]
[əʀ xɑ̃ntik zu zawɛt əʀ xɑ̃ntik a nœwe]
(Ecoutez jeunes gens et vieilles gens aussi, un cantique nouveau a été composé. On en avait demandé quatorze de Langonnet, quatre autres de Brezel et sept du Faouët. En voyant les soldats descendre la rue, une partie d'entre eux en bleu et le reste en rouge. Les larmes de leurs yeux venaient les mouiller, ils avaient le chagrin au cœur en quittant leur Pays. Servir la nation est chose désagréable, le cœur des Bretons est plein de chagrin)
(Listen to young people and old people too, a new song was written. asked fourteen from Langonnet, four others from Brezel and seven from Faouët. Seeing the soldiers walk down the street, some of them in blue and the rest in red. Tears of their eyes came to wet them, they had sorrow in their hearts when they left their country. Serve the nation is an unpleasant thing, the hearts of the Bretons are full of sorrow)
(Les Cosaques se sont réveillés, en route depuis minuit, Marusenka a pleuré, tes yeux clairs. Ne pleure pas, ne pleure pas Marusenka, ne pleure pas, ne sois pas triste. Mais pour mon petit, prier Dieu. La lune se tient au-dessus de la montagne, et il n’y a pas de soleil, la mère d’un fils dans une Dorezhenka, un adieu plein de larmes. Allez, allez mon fils, ne tarde pas, dans quatre semaines de retour. Oh j’aimerais bien, maman, rentrer à la maison, mais une chose, mon cheval noir corbeau, m’a fait trébucher contre la porte, oh ne pleure pas ma mère, ne cède pas au désir, mon cheval s’est joué de mon espoir de retour)
(The Cossacks woke up, on the way since midnight, Marusenka cried, your eyes clear. Don't cry, don't cry Marusenka, don't cry, don't be sad. But for my little one, pray to God. The moon stands above the mountain, and there is no sun, the mother of a son in a Dorezhenka, a farewell full of tears. Go, go my son, do not delay, in four weeks back. Oh i would love, mom, to come home, but one thing, my raven black horse, made me stumble against the door, oh don't cry mom, don't give in to desire, my horse got played with my hope of return)
Засвіт встали козаченьки
В похід з полуночі,
Заплакала Марусенька
Свої ясні очі.
Не плач, не плач, Марусенько,
Не плач, не журися,
Та за свого миленького
Богу помолися.
Стоїть місяць над горою
А сонця немає.
Мати сина на війноньку
Слізно проводжає.
Іди, іди, мій синочку,
Та не забарися,
За чотири неділеньки
Додому вернися.
Ой Бог знає, коли вернусь,
В якую годину…
Прийми ж мою Марусеньку
За рідну дитину.
Ой рада б я Марусеньку
За рідну прийняти,
Та чи буде вона мене,
Сину, шанувати ?
Ой не плачте, не журіться,
В тугу не вдавайтесь!
Заграв мій кінь вороненький –
Назад сподівайтесь !
[zasvit fstalɨ kɔzaʧɛɲkɨ]
[f pɔʜit s pɔlunɔʧi]
[zaplakala marusɛɲka]
[svɔji jasni ɔʧi]
[nɛ plaʧ nɛ plaʧ nɛ marusɛɲkɔ]
[nɛ plaʧ nɛ ʒurɨsʲa]
[ta za svɔvɔ mɨlɛɲkɔvɔ]
[bɔgu pɔmɔlɨsʲa]
[stɔjitʲ misʲatsʲ nat gɔrɔʲu]
[a sɔntsʲa nɛmajɛ]
[matɨ sɨna na viʲnɔɲku]
[sliznɔ prɔvɔdʒajɛ]
[idɨ idɨ mij sɨnɔʧku]
[ta nɛ zabarɨsʲa]
[za ʧɔtɨrɨ nɛdilɛɲkɨ]
[dɔdɔmu vɛrnutʲsʲa]
[ɔj bɔk znajɛ kɔlɨ vɛrnusʲ]
[f jakuʲu gɔdɨnu]
[prɨʲmɨ ʃ mɔʲu marusɛɲku]
[za ridnu dɨtɨnu]
[ɔj rada p ja marusɛɲku]
[za ridnu prɨʲɲatɨ]
[ta ʧɨ budɛ vɔna mɛnɛ]
[sɨnu ʃanuvatɨ]
[ɔj nɛ plaʧtɛ nɛ ʊdavaʲtɛsʲ]
[f tugu nɛ ʊdavaʲtɛsʲ]
[zagraʊ miʲ kiɲ vɔrɔnɛɲkɨʲ]
[nazat spɔdivaʲtɛsʲ]
(Les Cosaques se sont réveillés, en route depuis minuit, Marusenka a pleuré, tes yeux clairs. Ne pleure pas, ne pleure pas Marusenka, ne pleure pas, ne sois pas triste. Mais pour mon petit, prier Dieu. La lune se tient au-dessus de la montagne, et il n’y a pas de soleil, la mère d’un fils dans l’armée, un adieu plein de larmes. Allez, allez mon fils, ne tarde pas, dans quatres semaines, reviens à la maison. Oh Dieu sait quand je serais de retour, à quelle heure. Accepte ma Marusenka, pour un enfant du pays, oh je serai heureux Marusenka de prendre pour natif, mais sera-t-elle pour moi fils, un honneur ? Ne sois pas triste, ne cède pas au désir, mon cheval s’est joué de moi d’un espoir de retour)
(The Cossacks woke up, on the way since midnight, Marusenka cried, your eyes clear. Don't cry, don't cry Marusenka, don't cry, don't be sad. But for my little one, pray to God. The moon stands above the mountain, and there is no sun, the mother of a son in the army, a farewell full of tears Go, go my son, do not delay, in four weeks, come back to home. Oh God knows when I'll be back, at what time. Accept my Marusenka, for a child of the country, oh I'll be happy to take Marusenka as a native, but will she be my son, an honor? don't be sad, don't give in to desire, my horse has tricked me with a hope of return)
(Eh ! Le long de la Peterskaïa, le long de Tverskaya-Yamskaya, ouais oh oh ! Le long de Tverskaya-Yamskaya, oui, avec une cloche. Eh ! Roule assez, seul à trois.Eh ! Et monte, mon cher, oui dans l’insouciance. Oh ! Et j'étais à la fête, dans la conversation j'ai bu, jeune, douceur et vodka. Aie ! vodka sucrée, Toute je l’ai bu, jeune, dans un demi-seau. Euh... Ah ! Oh ! Oh ! Ce n'est pas la glace qui craque, pas un moustique ne grince, c'est parrain à parrain, le sandre traîne, Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Hé ! potins, tu es une colombe, de faire bouillir la sandre marraine, avoir une yushka (plat traditionnel de mélange de poisson et viande). Hé ! Hé ! Hé ! Hé ! Hé ho ! Yushechka, et le persil, et embrasse-moi, marraine chérie ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Eh bien bisous ! Eh bien bisous ! Marraine chérie)
(Hey! Along Peterskaya, along Tverskaya-Yamskaya, yeah oh oh! Along Tverskaya-Yamskaya, yes, with a bell. Hey! Ride enough, alone in threes. Hey! And go up, my dear, yes in carelessness Oh! And I was at the party, in the conversation I drank, young, sweetness and vodka. Ouch! sweet vodka, All I drank, young, in half a bucket. Uh... Ah! Oh! Oh! It's not the ice that's cracking, not a mosquito is squealing, it's godfather to godfather, the zander is hanging around, Oh! Oh! Oh! Oh! Hey! gossip, you you're a dove, to boil godmother pike-perch, to have a yushka (traditional dish of mixed fish and meat) Hey! Hey! Hey! Hey! Hey! Yushechka, and parsley, and kiss me, darling godmother! Oh! Oh! Oh! Oh! Well kisses! Well kisses! Godmother darling)
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